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RECHERCHE & INNOVATION

Référents académiques

Kéa collabore avec des personnalités de référence

Seuls, sans fondements académiques et sans ouverture vers les intellectuels, nous n’aurions pu briguer la maîtrise de cet "art" et créer ce qu’est Kéa aujourd’hui. C’est en collaborant avec des personnalités et des cercles de recherche universitaire que nous avons pu nourrir notre innovation et produire de nouvelles idées et approches.

Au fil des années, nous avons bâti une école de conseil, avec l’envie d’apporter aux dirigeants un certain regard sur la transformation des organisations, une stratégie d’exécution distinctive… une signature en quelque sorte dans l’art de transformer.

Jean-Christian Fauvet, décédé en 2010, est venu à notre rencontre dès l’origine. Il voulait que nous progressions avec lui sur la doctrine de management qu’il a fondée : la sociodynamique. Nous avons cheminé avec lui pendant dix ans, notamment pour rédiger "La lettre de la sociodynamique". De fait, les outils associés font partie de nos fondamentaux et nous avons bâti un corpus méthodologique autour de la transformation sociodynamique, dont rendent compte les numéros 12, 14 et 17 de La Revue. Et pour écrire la quatrième page de cette discipline, nous avons cofondé l’institut de la sociodynamique en 2014, association à l’origine d’un évènement d’ampleur : le Campus de l’innovation managériale, qui se tient tous les deux ans.

Jacques Jochem a été directeur de l’innovation de Kéa de 2001 à 2005. Il nous a poussés à être différents, à aller au-delà des méthodes classiques des consultants. Il nous a donné le socle de notre corpus méthodologique. La vision, l’action sur les comportements, les 4 modes de transformation ou bien encore le programme sont des approches issues de notre coopération. Les six premiers numéros de La Revue en témoignent. En 2014, une nouvelle collaboration a fait voir le jour au livre "Le mix-organisation" qui est la pierre angulaire de notre R&D en matière d’autonomie et de responsabilisation – concept clé de la performance des entreprises aujourd’hui.

Michel Saloff-Coste nous a aidés à explorer les forces et faiblesses du mimétisme et de la singularité. De la confrontation de nos points de vue est née notre démarche de stratégie créative. Cela a amorcé le travail de réflexion sur les actifs immatériels. Les numéros 8 et 10 de La Revue résument nos échanges. Le livre "Les immatériels actifs" et l’implication de Jérôme Julia en tant que Président de l’Observatoire de l’Immatériel attestent que le développement se poursuit.

François Jullien nous apporte son regard de philosophe et de sinologue ; il nous questionne sur la culture occidentale par le détour de la culture ancestrale chinoise. La Chine a pensé la transformation il y a plus de 4000 ans… voilà de quoi susciter tout notre intérêt ! Il nous fait profiter de cet écart de pensée pour ouvrir de nouvelles perspectives en matière de stratégie et de management. Cela nous amène à élaborer des concepts de transformation silencieuse, où les notions de "faire murir" ou "créer les conditions favorables" sont centrales. François Jullien signe deux articles éclairants dans les numéros 12, 14 et 19 de La Revue .

Laurent Bibard - professeur à l’ESSEC, docteur en philosophie et en gestion, ancien directeur de la chaire Edgar Morin de la complexité -, collabore depuis plusieurs années avec le Groupe Kéa, en particulier dans le cadre du Campus de l’Innovation Managériale. Intervenant en entreprise en tant que consultant indépendant ou conférencier, il articule théorie philosophique et analyse pratique. Ses sujets de prédilection concernent la complexité, l’éthique, la crise, la responsabilité et, plus globalement, les dynamiques de vigilance dans des contextes d’incertitude. Ses interventions sont éclairantes pour tous, grâce à son regard de philosophe allié à un talent d’orateur et de pédagogue.

Jean Staune, philosophe des sciences et essayiste, contribue au développement de programmes de recherche dans plus d’une vingtaine d’universités et collabore régulièrement avec Kéa. Il a écrit des ouvrages fondamentaux sur les implications philosophiques de la science, notamment “Notre existence a-t-elle un sens ?” (Presses de la Renaissance) et “Les Clés du Futur” (Plon). Dans cet ouvrage, il analyse les cinq révolutions - scientifique, technologique, managériale, économique, sociétale - simultanément à l‘œuvre qui vont profondément impacter notre façon de produire, de consommer et de vivre, bouleversant ainsi tous nos repères traditionnels. Il signe à cette occasion un article dans La Revue 22 de Kéa « L’Entreprise Alerte, espèce en voie d’apparition ».

Kéa soutient des travaux académiques

Si notre pratique du conseil auprès des directions générales nous permet de travailler concrètement à la transformation de l'instrument principal du système économique - l'entreprise -, nous croyons que les sciences sociales et la recherche associée sont riches d’enseignement.

 

Car une entreprise, avant d’être un système, est une communauté humaine qu’il faut rassembler autour d’une vision partagée, dont il faut libérer l’énergie créatrice de valeur. En comprendre les ressorts sociologiques, décrypter les évolutions de la société, s’enrichir de points de vue inhabituels, tout cela nourrit l’innovation qu’elle soit managériale ou stratégique.

 

Sociologues, ethnologues, philosophes… nous apportent leur rigueur méthodologique et sont des sources d’idées nouvelles pour les dirigeants. En s’intéressant et en collaborant à leurs travaux, nous avons l’ambition de créer des passerelles entre la recherche et l’entreprise, entre le monde intellectuel et le monde entrepreneurial, dans le but de :

  • Faire émerger de nouveaux paradigmes en matière de management,

  • Sortir des schémas d’analyse stratégique classiques,

  • Trouver et renouveler les ressorts de développement.

 

C’est pourquoi nous avons soutenu les travaux de la Chaire de l'Altérité, à la Fondation Maison des Sciences de l'Homme.

 

C’est pourquoi nous nous sommes rapprochés de Laurent Bibard, professeur de philosophie et de gestion à l'ESSEC, dans le cadre du Campus de l’innovation managériale.

 

C’est pourquoi, nous échangeons régulièrement avec Thibaut Brière, philosophe d’entreprise, sur les questions d’autonomie et de responsabilisation.

 

C’est aussi la raison pour laquelle nous sommes partie prenante de la Chaire « Futurs de l’industrie et du travail : formation, innovation, territoires » (FIT2) au sein de Mines ParisTech.

 

C’est pourquoi, enfin, nous sommes partenaires de Philonomist, un média en ligne abordant le monde de l’entreprise et de l’économie sous les angles de la philosophie et des sciences humaines – un media qui s’appuie sur l’expertise de la rédaction de Philosophie magazine.

La philosophie et le management

2 chemins parallèles ?

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