A PROPOS D’ANTOINE

Dans un milieu professionnel bousculé par la technologie et l’arrivée de nouvelles générations de collaborateurs, Antoine Amiel est convaincu que les compétences sont un des leviers stratégiques pour la performance des entreprises autant qu’un facteur de cohésion sociale. À la croisée des enjeux RH, sociétaux et économiques, il s’est donné pour mission de transformer le rapport à la formation – initiale et continue – en prêchant le pas de côté face à la « diplomite aigüe » française.

Directeur général de Learn Assembly, désormais filiale du groupe Kéa, Antoine a rejoint Kéa en 2024. Spécialiste des questions liées au travail et à la formation,  Antoine intervient, aux côtés des équipes dédiées aux enjeux de Capital humain, sur toutes les problématiques de directions générales du secteur de l’emploi et de la formation : plan stratégique, M&A repositionnement, transformation de modèles économiques opérationnels, signature pédagogique, ingénierie de formation, cartographie de compétences, intégration des technologies de rupture, déploiement de l’IA générative dans le Learning & Development.

Entrepreneur engagé, Antoine fonde Learn Assembly en 2013 avec la volonté d’accompagner la transformation du secteur de la formation. Il y développe une approche novatrice, croisant design pédagogique, stratégie d’entreprise et impact social. Son parcours antérieur en cabinet de conseil et dans les médias numériques lui confère une vision ouverte, agile et systémique des mutations du travail et de l’apprentissage.

Antoine est l’auteur de Formation professionnelle : la nouvelle lutte des classes (Éditions de l’Aube, 2025), un essai qui plaide pour une transformation en profondeur du modèle français de formation. Il est membre du conseil d’administration de la fédération Les Acteurs de la Compétence, expert associé à la Fondation Jean-Jaurès et conférencier pour les entreprises et cercles de dirigeants. À travers Learn Assembly, il a accompagné des dizaines d’acteurs majeurs du learning, publics et privés, dans leurs trajectoires de transformation.

« Je travaille pour apprendre et non l’inverse »